On pense aux autres https://onpenseauxautres.fr/ Agissez comme vous le souhaitez pour une cause qui vous touche Tue, 07 Oct 2025 13:42:29 +0000 fr-FR hourly 1 https://onpenseauxautres.fr/wp-content/uploads/2024/08/cropped-logo-1-32x32.png On pense aux autres https://onpenseauxautres.fr/ 32 32 Antibiotiques : ne gâchons pas notre dernière ligne de défense https://onpenseauxautres.fr/antibiotiques-ne-gachons-pas-notre-derniere-ligne-de-defense/ https://onpenseauxautres.fr/antibiotiques-ne-gachons-pas-notre-derniere-ligne-de-defense/#respond Sat, 22 Nov 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/antibiotiques-ne-gachons-pas-notre-derniere-ligne-de-defense/ Sauvegardons l’efficacité des antibiotiques face aux résistances croissantes pour protéger santé humaine, animale et environnement.

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En 1942, la découverte de la pénicilline a transformé la médecine moderne, offrant une arme puissante contre des infections naguère fatales. Soixante-dix ans plus tard, cette ligne de défense vitale est en danger face à la montée insidieuse mais dramatique de la résistance aux antibiotiques. Aujourd’hui, la menace dépasse largement les sphères médicales : elle met en péril la santé publique mondiale, les animaux, et compromet les avancées obtenues contre de nombreuses maladies.

Résistances bactériennes : un défi global et silencieux

Chaque année, environ 700 000 personnes dans le monde succombent à des infections résistantes aux traitements, un chiffre qui pourrait exploser si rien n’est fait. Ces résistances émergent lorsque les bactéries s’adaptent aux médicaments, rendant inefficaces les antibiotiques jusqu’ici salvateurs. Souvent, ce processus est accéléré par l’usage excessif ou inapproprié de ces médicaments, que ce soit en médecine humaine ou vétérinaire.

Le risque touche tous les âges et toutes les catégories sociales, particulièrement les plus vulnérables : enfants, personnes âgées, malades chroniques ou souffrant de déficiences immunitaires. Cette problématique n’épargne pas non plus les animaux sauvages ou domestiques, dans lesquels les bactéries résistantes peuvent circuler et revenir contaminer l’homme.

Des conséquences humaines et éthiques lourdes

Au-delà des chiffres, l’inquiétude porte sur les répercussions humaines, parfois dramatiques. Imaginez une simple blessure infectée, une pneumonie, ou encore une infection postopératoire devenant irréversible faute de traitement efficace. Le spectre de maladies jadis contrôlées qui ressurgissent brutalement est réel et tangible.

Cet enjeu sanitaire est indissociable de questions éthiques majeures. L’accès aux soins se fragilise, les inégalités en santé se creusent davantage, notamment dans les pays où les ressources manquent pour prévenir ou traiter ces infections. L’engagement de chacun, qu’il soit dans le domaine médical, associatif ou citoyen, devient un levier essentiel pour agir contre cette menace silencieuse.

Limiter le gaspillage de notre dernière ressource

Un usage prudent des antibiotiques s’impose désormais comme une priorité partagée. Cette exigence concerne aussi bien les patients que les professionnels de santé : il ne s’agit pas de bannir ces médicaments, mais de les réserver aux situations où ils sont réellement nécessaires, sur prescription médicale et dans le respect des doses indiquées.

Par ailleurs, la sensibilisation du plus grand nombre est une arme décisive. Des campagnes d’information conduites par des acteurs engagés, comme Santé publique France, participent à changer les habitudes et à réduire les comportements à risque de surconsommation.

Impact sur la protection animale et environnementale

La résistance aux antibiotiques touche aussi la biodiversité. Dans les élevages, où les antibiotiques sont parfois utilisés pour prévenir des maladies dans des conditions intensives, le phénomène s’amplifie. Le résultat : une pollution bactérienne qui se diffuse dans l’environnement et fragilise des écosystèmes entiers.

Agir pour protéger notre santé, c’est aussi œuvrer pour des pratiques agricoles responsables. À ce titre, des organisations comme la Ligue pour la Protection des Oiseaux ou la Fondation pour la Biodiversité travaillent à la préservation de la faune et la flore face à ces menaces souvent insidieuses.

Comment se mobiliser au quotidien ?

Chacun peut contribuer à son échelle, par des gestes simples mais impactants. Refuser l’automédication, respecter les traitements prescrits, adopter une hygiène rigoureuse, privilégier les aliments issus d’élevages responsables… autant d’actes qui réduisent la pression sur les antibiotiques.

Pour ceux qui souhaitent aller plus loin, s’engager avec des associations permet de soutenir des initiatives en France et à l’international. Par exemple, Action Contre l’Antibiorésistance milite pour la recherche et sensibilise l’opinion. Par ailleurs, des acteurs comme Médecins Sans Frontières agissent sur le terrain dans des zones à risque, formulant des protocoles adaptés contre ce fléau.

La lutte contre la résistance aux antibiotiques se révèle ainsi une cause qui croise santé, environnement, justice sociale et protection animale. Refuser de gaspiller cette dernière ligne de défense appelle à une prise de conscience collective, un engagement éclairé, porté par le respect de la vie sous toutes ses formes.

Nous sommes tous appelés à devenir les gardiens d’un bien commun fragile, à défendre une avancée médicale qui a permis à des millions d’individus de survivre et d’espérer, longtemps après la pénicilline.

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Le droit à l’enfance : rappelons l’essentiel en cette journée mondiale https://onpenseauxautres.fr/le-droit-a-lenfance-rappelons-lessentiel-en-cette-journee-mondiale/ https://onpenseauxautres.fr/le-droit-a-lenfance-rappelons-lessentiel-en-cette-journee-mondiale/#respond Thu, 20 Nov 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/le-droit-a-lenfance-rappelons-lessentiel-en-cette-journee-mondiale/ Le droit à l’enfance, un combat universel et urgent, rappelle l’importance de protéger et soutenir les enfants pour bâtir un avenir meilleur.

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Le droit à l’enfance, inscrit dans la Convention internationale des droits de l’enfant adoptée par l’ONU en 1989, est un principe clé qui devrait guider notre regard sur le monde. Pourtant, chaque année, des millions d’enfants à travers la planète voient ce droit bafoué sous des formes multiples : privation d’accès à l’éducation, maltraitance, pauvreté, conflits armés. En France, alors que la protection des plus jeunes bénéficie d’un cadre juridique solide, les disparités sociales persistent, traduisant la nécessité d’une vigilance constante.

À la manière d’une lumière qu’il faut entretenir, rappeler l’essentiel du droit à l’enfance lors de la Journée mondiale dédiée à ce sujet n’a rien d’anodin. Cela permet d’en garder la portée universelle et d’agir pour que nul ne reste invisible, notamment ceux qui vivent dans des conditions d’extrême vulnérabilité.

Quand la fragilité rencontre la résilience

Chaque enfant devrait pouvoir grandir dans un environnement où la sécurité, l’éducation et la santé sont garanties. Pourtant, certains défis entravent cette possibilité, souvent liés à des situations difficiles que l’on croit parfois lointaines. Or, l’histoire regorge d’exemples où la force de la jeunesse, soutenue par une société attentive, a trouvé un chemin de lumière.

En 2019, la fondation UNICEF France a rappelé que 1 enfant sur 5 en France vivait sous le seuil de pauvreté, un fléau invisible qui affecte directement son bien-être et son épanouissement. Ce chiffre souligne combien les enjeux sont encore très présents dans nos pays, et invite à ne jamais sous-estimer l’importance de la prévention et du soutien.

Des initiatives inspirantes au service de l’enfance

De nombreuses associations françaises s’engagent quotidiennement pour défendre ce droit fondamental. La Fondation pour l’Enfance offre un exemple concret d’action menée pour protéger les enfants victimes de maltraitance et favoriser leur accès à des environnements sécurisés. Le travail de La Défenseure des Enfants s’inscrit aussi dans une volonté de faire respect et faire entendre la voix même des plus jeunes.

Par ailleurs, Secours Catholique accompagne des familles en difficulté, souvent avec des enfants, en proposant non seulement du soutien matériel mais aussi un accompagnement social essentiel. Sans oublier Autisme France, qui œuvre pour l’inclusion d’enfants vivant avec un handicap, rappelant que le droit à l’enfance englobe aussi le respect des différences.

Agir avec bienveillance et responsabilité

Il ne s’agit pas de s’imposer une posture culpabilisante face aux souffrances invisibles. Le véritable moteur de l’engagement réside dans une conscience claire, une sensibilité éveillée, et surtout dans la force collective. Chaque geste, même modeste, contribue à tisser une société plus juste.

Une manière d’agir peut par exemple consister à soutenir les associations qui œuvrent à la protection de l’enfance ou à éduquer son entourage sur ces enjeux. Participer à des initiatives locales, informer sans juger, écouter avec respect, sont des moyens concrets de faire vivre ce droit fondamental.

Une responsabilité partagée

Le respect du droit à l’enfance ne relève pas uniquement des institutions. Il s’agit également d’un engagement au quotidien, de la part des familles, des professionnels, et puis de chacun d’entre nous. Il invite à cultiver la solidarité intergénérationnelle, ainsi qu’à porter un regard bienveillant et attentif sur les réalités des plus jeunes.

Les enfants sont les témoins et les acteurs de demain. Leur offrir la chance de s’épanouir pleinement est un défi auquel nous sommes tous appelés à répondre, en France comme ailleurs dans le monde.

Pour nourrir cette réflexion, n’hésitez pas à consulter les ressources proposées par UNICEF ou à vous rapprocher des associations mentionnées, nombreuses à rechercher des bénévoles, des donateurs ou simplement à partager leurs campagnes de sensibilisation.

En ce jour mondial consacré à l’enfance, rappelons ensemble que protéger, éduquer, écouter, c’est non seulement affirmer un droit mais aussi investir dans l’avenir de notre société toute entière.

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Tolérance : le chemin vers la paix et la cohésion sociale https://onpenseauxautres.fr/tolerance-le-chemin-vers-la-paix-et-la-cohesion-sociale/ https://onpenseauxautres.fr/tolerance-le-chemin-vers-la-paix-et-la-cohesion-sociale/#respond Sun, 16 Nov 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/tolerance-le-chemin-vers-la-paix-et-la-cohesion-sociale/ Tolérance et cohésion sociale : comprendre leur rôle dans la paix et l’engagement associatif pour un futur plus solidaire.

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En 2018, dans un quartier multiculturel de Marseille, une école primaire a organisé une journée où enfants de toutes origines ont partagé leurs histoires familiales, leurs langues et traditions. Ce simple moment d’échange a ouvert un dialogue entre des familles souvent éloignées les unes des autres, révélant la puissance de la tolérance pour bâtir un avenir commun. Cette anecdote illustre combien la reconnaissance des différences peut devenir une formidable source de cohésion sociale et de paix.

Comprendre la tolérance dans notre société

La tolérance, souvent perçue comme une capacité à respecter des opinions ou des modes de vie différents, s’affirme aujourd’hui comme un enjeu majeur face aux fractures sociales qui traversent nos sociétés. À l’heure où les crises sanitaires, économiques et environnementales soulignent nos vulnérabilités, elle constitue un socle indispensable à la solidarité et à la construction d’un monde plus harmonieux.

Dans le contexte des causes que nous défendons – que ce soit la lutte contre la pauvreté, la protection des personnes handicapées, ou la défense du bien-être animal – la tolérance invite avant tout à dépasser les jugements hâtifs et les préjugés, ouvrant la voie à une empathie sincère et à une action collective efficace.

Vers une société inclusive et respectueuse

La tolérance n’est pas un geste passif, ni une simple acceptation des différences, mais un engagement actif qui vise à reconnaître la dignité de chacun quel que soit son parcours. Cette approche prend tout son sens lorsqu’elle se traduit par des actions concrètes, notamment dans le champ associatif où l’ouverture à l’autre favorise une inclusion réelle.

Des structures telles que APF France handicap œuvrent depuis des décennies pour que le handicap ne soit plus un facteur d’exclusion, tandis que Les Restos du Cœur apportent un soutien aux plus démunis, illustrant l’urgence d’une solidarité fondée sur la tolérance et le respect mutuel.

Les bénéfices d’une tolérance active pour la paix sociale

La paix ne se limite pas à l’absence de conflit visible. Elle s’exprime au quotidien dans la capacité des communautés à vivre ensemble malgré leurs différences. La tolérance permet de lever les barrières invisibles qui nourrissent souvent l’exclusion ou la stigmatisation, ouvrant ainsi une porte vers une cohésion plus solide.

Par exemple, sur le terrain international comme en France, des organisations telles que la Fédération internationale des droits de l’Homme mettent en lumière la nécessité de respecter les droits fondamentaux pour prévenir les violences et construire une paix durable, montrant à quel point la tolérance est indissociable du respect des libertés.

Comment chaque engagement valorise la tolérance

Agir pour une cause, c’est aussi témoigner d’une certaine forme de tolérance, en acceptant d’entendre des réalités parfois très éloignées de la sienne. S’impliquer dans le soutien aux personnes atteintes de maladies chroniques, au secours des animaux maltraités ou à la lutte contre le rejet social, montre une volonté de comprendre avant tout, un refus de l’indifférence.

C’est ce que propose Le Secours Populaire Français, une association qui agit contre toutes les formes d’exclusion, en construisant des ponts entre les individus, quelles que soient leurs origines ou leurs conditions.

Un appel à l’engagement, porté par l’espoir

La tolérance est un chemin, parfois long et semé d’embûches, mais qui conduit inévitablement à un monde plus juste. Chaque petit geste, chaque temps consacré à l’autre, participe à tisser des liens qui éloignent la peur et le rejet, sources majeures de conflits.

Dans cette démarche, les associations comme Handicap International incarnent une invitation à embrasser une vision d’humanité où les différences ne créent pas des murs, mais des passerelles. Leur action exemplaire montre que la solidarité cultivée dans la diversité est un moteur irremplaçable de la paix sociale.

S’engager ne signifie pas porter tout seul le poids du monde, mais participer à cette dynamique collective qui valorise l’ouverture d’esprit, le respect et la bienveillance. Grâce à la tolérance et à l’engagement citoyen, il est possible d’écrire ensemble un futur où chaque vie, chaque histoire, trouve sa juste place.

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Prévention et gestion du diabète : les clés d’une vie saine https://onpenseauxautres.fr/prevention-et-gestion-du-diabete-les-cles-dune-vie-saine/ https://onpenseauxautres.fr/prevention-et-gestion-du-diabete-les-cles-dune-vie-saine/#respond Fri, 14 Nov 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/prevention-et-gestion-du-diabete-les-cles-dune-vie-saine/ Prévention et gestion du diabète : comprendre la maladie et s'engager pour une vie saine et solidaire, un défi collectif et humain essentiel.

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À l’aube des années 2000, une étude marquante réalisée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) mettait en lumière une réalité alarmante : le diabète touchait déjà plus de 170 millions de personnes sur la planète. Ce chiffre, en constante augmentation, traduit une urgence collective à repenser la manière dont la société appréhende la santé, la prévention et l’accompagnement. Bien plus qu’une simple pathologie, le diabète incarne un défi complexe, mêlant habitudes de vie, inégalités sociales et accès aux soins.

Comprendre le diabète pour mieux agir

Il existe plusieurs formes de diabète, mais celles qui concernent le plus grand nombre sont le diabète de type 1, souvent diagnostiqué dès l’enfance, et le diabète de type 2, majoritairement lié au mode de vie et à l’âge. Contrairement à une idée reçue, cette maladie ne se résume pas à une seule problématique médicale. Elle touche aussi l’équilibre psychologique et le quotidien des personnes concernées.

Adopter une vie saine est donc plus qu’une prévention, c’est une forme de résistance aux conséquences du diabète. Cela s’appuie sur le maintien d’une alimentation équilibrée, l’activité physique régulière et la gestion du stress. Mais cela suppose aussi une prise en charge adaptée, soutenue par des acteurs solidaires et informés.

Les enjeux sociaux d’une maladie encore trop stigmatisée

Le diabète ne frappe pas au hasard. Les populations les plus vulnérables, souvent confrontées à la précarité ou à un accès limité aux soins, sont les plus exposées. Ce constat rend d’autant plus essentiel le rôle des associations spécialisées, telles que la Fédération Française des Diabétiques, qui œuvrent pour soutenir les malades et sensibiliser le grand public.

À travers leurs actions, elles révèlent combien la solidarité est une arme redoutable contre l’isolement. Elles offrent des espaces d’échanges, des formations, mais aussi une voix pour réclamer des politiques publiques plus justes et plus humaines.

L’implication citoyenne : une force collective

S’engager aux côtés d’une cause comme celle du diabète, c’est rejoindre un mouvement capable de changer les mentalités. Ce travail de sensibilisation rappelle que chacun gagne à préserver sa santé, mais aussi à défendre le droit à un accompagnement digne pour toutes et tous, partout.

Les campagnes d’information, les collectes de fonds ou encore le bénévolat dans les associations démontrent qu’au-delà de la maladie, ce sont des liens humains précieux que l’on construit. Des associations comme Diabète Espoir ou l’Association Française des Diabétiques proposent des ressources et des modalités diverses pour s’impliquer selon ses capacités et ses envies.

Prévenir pour transformer des vies

Les avancées scientifiques facilitent désormais le dépistage précoce et le suivi des personnes à risque. Mais elles ne sauraient se substituer à des habitudes permettant de limiter l’apparition de la maladie. La prévention durable fait ainsi appel à une éducation au long cours, qui touche aussi bien les enfants que les adultes.

Les programmes menés dans les écoles, comme ceux coordonnés par l’UNICEF, visent à instaurer des réflexes sains très tôt, avec l’appui de professionnels de santé et d’éducateurs. Cette démarche s’inscrit dans une dynamique plus large de santé publique intégrée.

L’espoir d’un monde plus équitable

Si le diabète constitue un défi médical certain, il est également une source d’engagement pour une société plus solidaire. L’association Un Monde Sans Diabète illustre cet engagement global en mobilisant chercheurs, acteurs humanitaires et citoyens. Ensemble, ils redonnent du sens à l’humain face à un enjeu sanitaire universel.

Adopter un mode de vie équilibré, soutenir des initiatives locales ou internationales, ce sont autant de façons de participer modestement à un changement nécessaire. La prévention et la gestion du diabète ne sont pas uniquement l’affaire des personnes malades : elles concernent l’ensemble de la société, à travers chaque geste, chaque attention portée aux autres.

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Pneumonie : la santé publique en première ligne face à une maladie évitable https://onpenseauxautres.fr/pneumonie-la-sante-publique-en-premiere-ligne-face-a-une-maladie-evitable/ https://onpenseauxautres.fr/pneumonie-la-sante-publique-en-premiere-ligne-face-a-une-maladie-evitable/#respond Wed, 12 Nov 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/pneumonie-la-sante-publique-en-premiere-ligne-face-a-une-maladie-evitable/ Pneumonie : comprendre ses enjeux pour agir sur cette maladie évitable et soutenir la santé publique, un défi humanitaire et citoyen.

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Chaque année, la pneumonie provoque la mort de plus de 800 000 enfants de moins de cinq ans à travers le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé. Cette maladie, qui reste pourtant largement évitable, continue de représenter un défi majeur pour la santé publique. En France, l’épidémiologie a évolué, mais elle n’a pas disparu pour autant : des groupes vulnérables, comme les personnes âgées ou ayant une pathologie chronique, restent exposés. Ce constat place la lutte contre la pneumonie au cœur des préventions collectives, des programmes de vaccination et du soutien aux populations fragiles.

Des causes multiples et une maladie souvent silencieuse

La pneumonie se caractérise par une inflammation des tissus pulmonaires, déclenchée par une infection bactérienne, virale ou plus rarement fongique. Souvent prise à la légère, elle peut évoluer rapidement vers des complications graves. Les personnes atteintes peuvent ressentir une forte fièvre, des difficultés respiratoires ou une fatigue inhabituelle, mais ces signaux sont parfois ignorés, notamment dans des contextes où l’accès aux soins est limité.

La précarité sociale joue un rôle exacerbé dans la vulnérabilité à la pneumonie. Un manque d’hygiène, une mauvaise alimentation ou l’exposition à la pollution contribuent à affaiblir les défenses naturelles. La pandémie récente de Covid-19 a d’ailleurs mis en lumière le fragile équilibre pulmonaire des populations, renforçant les liens entre épidémie et environnement social.

La vaccination, une barrière essentielle

Les avancées en matière de vaccination ont permis de diminuer sensiblement le nombre de cas graves. Le vaccin contre le pneumocoque, principal agent bactérien responsable, est désormais intégré aux calendriers européens, y compris en France. Malgré cette progression, des inégalités persistent dans la couverture vaccinale, notamment chez les plus démunis et les populations isolées.

Soutenir et renforcer ces initiatives est un levier fondamental. Par exemple, SolSidel, une association engagée dans la réduction des inégalités en santé, agit sur le terrain pour favoriser l’accès à la vaccination et à l’information. De telles actions contribuent à protéger non seulement les individus, mais aussi l’ensemble de la société.

Des effets non seulement humains mais sociaux

Au-delà de l’atteinte physique, la pneumonie influe sur la qualité de vie des malades et de leurs proches, engendrant parfois un parcours douloureux à travers les soins et la convalescence. Pour beaucoup, cette maladie renforce l’isolement ou accentue une situation de précarité économique. C’est pourquoi l’accompagnement global est indispensable.

Des associations comme France ADOT, bien qu’orientées sur le don d’organes, participent aussi à sensibiliser sur la prévention en santé, tandis que Médecins Sans Frontières œuvre sans relâche dans des zones à forte incidence de pneumonies pour offrir des soins adaptés aux populations démunies.

Chacun à son échelle pour un impact collectif

Ce combat dépasse le seul domaine médical. Il fait appel à l’engagement citoyen, qu’il s’agisse de promouvoir une meilleure information, d’accompagner les personnes isolées, ou de soutenir financièrement des projets de prévention. Intervenir auprès des publics les plus fragiles demande une mobilisation solidaire, à la fois locale et internationale.

Sur ce plan, l’association Pneumonies propose de nombreuses ressources et voies d’actions pour qui veut s’informer ou s’impliquer. Une implication qui prend un relief particulier lorsqu’elle aide à réduire des souffrances évitables, en s’appuyant sur la puissance de la prévention et du soutien collectif.

Un enjeu d’avenir qui concerne tous les citoyens

Tandis que la pneumonie continue de représenter une menace silencieuse, la responsabilité de la combattre revient à chacun, directement ou indirectement. S’engager pour la santé publique, c’est avant tout soutenir la construction de systèmes de santé inclusifs, accessibles et résilients face aux maladies infectieuses.

De la participation active à une association, à la simple diffusion d’informations précises, chaque geste compte. Pour que demain, la pneumonie ne soit plus une sentence, mais une prévention réussie. Dans cet esprit, le site On Pense Aux Autres encourage à réfléchir collectivement aux moyens d’un engagement solidaire au service de causes vitales telles que celle-ci.

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Au cœur du diagnostic : l’impact de la radiologie sur la santé https://onpenseauxautres.fr/au-coeur-du-diagnostic-limpact-de-la-radiologie-sur-la-sante/ https://onpenseauxautres.fr/au-coeur-du-diagnostic-limpact-de-la-radiologie-sur-la-sante/#respond Sat, 08 Nov 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/au-coeur-du-diagnostic-limpact-de-la-radiologie-sur-la-sante/ L’article explore l’impact de la radiologie sur la santé, un levier essentiel pour sauver des vies et réduire les inégalités sanitaires à travers l'engagement solidaire.

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En 1895, alors que Wilhelm Röntgen découvre les rayons X, le monde médical ouvre une nouvelle ère qui allait révolutionner la capacité à diagnostiquer et soigner des millions de personnes. Depuis, la radiologie est devenue un pilier essentiel de la santé moderne, permettant d’explorer l’intérieur du corps sans intervention invasive. Ce progrès scientifique, tout en sauvant des vies, soulève également des questions liées à son accès, son utilisation éthique et son rôle dans la lutte contre les inégalités sanitaires.

Un outil clé pour des diagnostics précoces et précis

La radiologie permet de détecter des pathologies souvent invisibles à l’œil nu, qu’il s’agisse de cancers, de fractures, d’affections cardiaques ou pulmonaires. Grâce à des techniques comme le scanner, l’IRM ou l’échographie, les médecins disposent d’une fenêtre unique sur le corps, facilitant une prise en charge rapide, personnalisée et efficace. Par exemple, le dépistage du cancer du sein par mammographie a considérablement amélioré le taux de survie, un véritable progrès pour la santé publique.

Mais ces avancées ne profitent pas toujours à tous. En régions éloignées ou dans les pays en développement, l’accès à ces technologies reste limité. Ainsi, des milliers de personnes voient leur pronostic s’aggraver faute d’un diagnostic précoce. La radiologie incarne alors une fracture sanitaire puissante qui invite à une réflexion collective sur la solidarité et la redistribution des ressources médicales.

Radio et humanitaire : un lien indispensable

Certaines organisations françaises prennent à bras-le corps cette problématique. L’association Afrimac, par exemple, oeuvre pour déployer des équipements radiologiques dans les zones les plus isolées d’Afrique. Elle contribue à faire de la radiologie non seulement une innovation technique, mais un véritable levier d’humanisme. Ce type d’action montre combien la technologie médicale peut être au service des populations fragilisées, qu’elles soient atteintes par la maladie ou vivant dans des conditions socio-économiques précaires.

La radiologie, un enjeu aussi environnemental et éthique

L’utilisation de rayonnements ionisants dans certains examens radiologiques impose une vigilance rigoureuse. La protection des patients, des personnels de santé et de l’environnement figure au cœur des préoccupations. Cet aspect amène les professionnels à promouvoir des pratiques sécurisées et à développer des appareils moins irradiants. Un rapport récent de l’Autorité de sûreté nucléaire française souligne l’importance de cette démarche dans la balance bénéfices/risques de la radiologie.

Ce souci de sécurité concerne aussi l’usage responsable de ces outils face aux enjeux globaux de santé publique. Les associations comme France Info sur la Radioprotection jouent un rôle crucial pour sensibiliser et informer le grand public. L’objectif est que chacun puisse comprendre les bénéfices sans craindre inutilement cette technologie.

S’engager, c’est contribuer à une santé plus juste

À une époque où les inégalités socio-sanitaires s’exacerbent, la radiologie rappelle que la santé est un droit fondamental. Engager son temps ou ses ressources auprès d’associations qui œuvrent pour un accès plus large à cette discipline, c’est offrir à beaucoup une chance de mieux vivre. Qu’il s’agisse de soutenir des campagnes de dépistage, d’accompagner des projets humanitaires ou d’encourager la recherche, chaque geste compte.

L’association La Ligue contre le cancer, très active sur le terrain, met en place des actions de sensibilisation qui favorisent le dépistage précoce grâce à la radiologie. D’autres comme Handicap International veillent à ce que l’accès aux diagnostics médicaux évolués ne soit pas un privilège, même dans les zones où la vulnérabilité prime.

Participer à ce mouvement, c’est se projeter dans un futur où la santé ne sera pas déterminée par la fortune ou le lieu de naissance. Et c’est aussi une manière de témoigner d’une humanité plus solidaire, où la science et l’empathie avancent ensemble pour préserver la vie.

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Quand les môt trébuchent : la journée mondiale du bégaiement sensibilise et informe https://onpenseauxautres.fr/quand-les-mot-trebuchent-la-journee-mondiale-du-begaiement-sensibilise-et-informe/ https://onpenseauxautres.fr/quand-les-mot-trebuchent-la-journee-mondiale-du-begaiement-sensibilise-et-informe/#respond Wed, 22 Oct 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/quand-les-mot-trebuchent-la-journee-mondiale-du-begaiement-sensibilise-et-informe/ La Journée mondiale du bégaiement sensibilise sur ce trouble souvent mal connu, invitant chacun à mieux comprendre et à soutenir les personnes concernées.

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Chaque année, le 22 octobre marque une date essentielle pour les personnes concernées par le bégaiement : la Journée mondiale du bégaiement. Ce moment d’attention collective éclaire une réalité souvent méconnue, celle d’un trouble de la parole qui touche plus de 70 millions de personnes à travers le globe. Si l’art de s’exprimer peut sembler anodin pour beaucoup, il représente un véritable défi pour ceux chez qui les mots hésitent, trébuchent, parfois se figent.

Une journée consacrée à la parole en suspens

L’origine récente de cette journée, créée en 1998 à l’initiative de réseaux internationaux tels que la Fédération Internationale des Associations de Bègues (IFBO), vise à briser le silence et à casser les tabous. La difficulté à s’exprimer génère souvent un sentiment d’isolement, un frein invisible à la confiance en soi. La Journée mondiale du bégaiement ne cherche pas uniquement à informer, elle appelle aussi à une forme d’empathie silencieuse, une compréhension renouvelée du combat quotidien vécu par des millions de personnes.

La stigmatisation sociale est fréquemment sous-estimée. De nombreuses victimes cachent leur douleur derrière l’évitement des conversations, ou un mutisme forcé, par peur du jugement. Pourtant, cet enjeu va bien au-delà de la seule parole, il renouvelle le débat sur l’accessibilité à l’égalité des chances.

Des vécus souvent méconnus, parfois bouleversants

Pour mieux comprendre cette réalité, on peut se tourner vers le témoignage de célèbres personnalités ayant vécu avec ce handicap invisible. Le roi Georges VI, dont le combat contre le bégaiement fut raconté dans le film Le discours d’un roi, illustre à quel point surmonter cette difficulté peut être un défi de taille, même pour ceux qui occupent les places de pouvoir. Son histoire porte une dimension profondément humaine et universelle, rendant hommage à la patience et à la résilience exigées chaque jour.

Sensibiliser à cette cause nécessite de dépasser les clichés et de valoriser les progrès réalisés dans le domaine de l’accompagnement thérapeutique. Des méthodes validées scientifiquement, ainsi que des approches innovantes réhabilitent progressivement la parole troublée. Le soutien familial et social se révèle aussi crucial dans ce processus.

Agir par la connaissance et le soutien

Le combat contre les préjugés passe souvent par la formation des proches et des professionnels. Éducateurs, enseignants, employeurs découvrent à travers cette journée une invitation à adapter leurs pratiques, à privilégier une écoute active. De plus en plus, les campagnes de sensibilisation visent à construire un environnement inclusif où chaque voix, même hésitante, trouve toute sa place.

Pour concrétiser cette dynamique, plusieurs associations françaises œuvrent sur le terrain. l’Association Française de la Bégaiement (AFB) se consacre non seulement à l’information mais aussi au soutien direct des personnes concernées et de leurs familles. Par ailleurs, Parole Bégaiement développe des actions destinées à sensibiliser le grand public et à rompre l’isolement.

Au-delà de la France, des entités comme Stigma International fournissent une plateforme d’échange pour les experts et les militants, amplifiant la portée des initiatives développées localement. Ces organisations collaborent parfois avec des instances telles que l’ONU afin de promouvoir une reconnaissance plus globale.

Un engagement qui a du sens

En rejoignant une association, en participant à une campagne, ou simplement en se renseignant, chacun peut participer à l’effort collectif. Le soutien n’est pas synonyme de pitié, mais bien d’un partage d’humanité, d’un acte de fraternité qui renouvelle notre regard sur les différences. Ce combat quotidien pour faire entendre sa voix rappelle la nécessité d’une société plus juste et bienveillante.

Les mots peuvent parfois trébucher, mais le vrai enjeu de cette journée est d’encourager leur liberté, dans leur pluralité et leur fragilité. Soutenir cette cause, c’est envisager un monde où chaque expression compte, où aucune voix ne reste muette d’incompréhension ni d’exclusion.

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Journée mondiale du refus de la misère : ensemble contre la pauvreté extrême https://onpenseauxautres.fr/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere-ensemble-contre-la-pauvrete-extreme/ https://onpenseauxautres.fr/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere-ensemble-contre-la-pauvrete-extreme/#respond Fri, 17 Oct 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/journee-mondiale-du-refus-de-la-misere-ensemble-contre-la-pauvrete-extreme/ Journée mondiale du refus de la misère : agir ensemble pour combattre la pauvreté extrême et soutenir les plus vulnérables avec solidarité et respect.

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Chaque année, la Journée mondiale du refus de la misère résonne comme un appel à la prise de conscience collective et à l’action solidaire. Instaurée par l’Organisation des Nations unies, cette date invite à se rappeler que des millions de personnes vivent encore dans une pauvreté extrême, parfois à deux pas de chez nous, mais bien souvent oubliées dans l’agitation quotidienne. Derrière les chiffres qui décrivent la précarité, il y a des visages, des parcours brisés et des rêves suspendus, qu’il nous revient de soutenir avec humanité et détermination.

Quand la pauvreté extrême se cache derrière l’invisible

La pauvreté transcende les frontières. En France, malgré un réseau social solide, près de neuf millions de citoyens vivent sous le seuil de pauvreté, selon les chiffres récents de l’INSEE. Loin des clichés, la précarité peut aussi toucher des familles, des travailleurs ou des retraités. Loin des grandes métropoles, dans les zones rurales ou dans certains quartiers défavorisés, la souffrance économique prend des formes parfois silencieuses, invisibles à l’œil nu.

Dans le monde, la lutte est encore plus urgente. Les conflits, les changements climatiques et les crises sanitaires, telles que la pandémie de COVID-19, ont renforcé les inégalités, plongeant des couches entières de populations dans le dénuement. Pourtant, comme l’a rappelé récemment le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), la solidarité internationale et les engagements locaux sont les leviers essentiels pour inverser cette tendance.

Au-delà des chiffres, des histoires qui forcent le respect

Quelques années auparavant, en 2016, une plongée au cœur des quartiers de Marseille révélait un portrait saisissant de la pauvreté extrême. Une mère célibataire racontait comment elle jonglait entre emplois précaires, assistance sociale et difficultés à nourrir ses enfants. Ces récits, partagés par des associations telles que Les Restos du Cœur ou l’Association Coluche, donnent corps à une réalité que les statistiques peinent parfois à traduire.

Ce sont des parcours de résilience, d’espoir aussi, où chaque geste fait la différence, qu’il s’agisse d’accéder à un repas chaud, d’un accompagnement social personnalisé ou d’un simple acte de solidarité. Ces témoignages appellent à ne pas détourner le regard, à s’engager à son échelle, sans attendre la solution « miracle » ou la réponse institutionnelle unique.

Un engagement accessible à tous : comment agir ?

Chacun dispose d’une capacité d’action qui prend bien des formes. Cela peut être un don, matériel ou financier, à des structures reconnues pour leur sérieux comme le Secours Populaire Français ou Action contre la Faim. Mais aussi du temps offert, à travers du bénévolat, un soutien moral, ou encore une mobilisation dans son entourage pour sensibiliser à ces causes.

Il est important de garder à l’esprit que ces actes, même modestes, contribuent à créer un tissu social plus solidaire. Ils permettent de tisser des liens, d’instaurer un dialogue entre des mondes que tout semble éloigner. La lutte contre la pauvreté n’est pas seulement une affaire d’urgence, c’est aussi une démarche de long terme visant l’émancipation et l’inclusion des plus démunis.

Des initiatives inspirantes à suivre

Plusieurs associations françaises, engagées en France et à l’international, incarnent ce combat avec un mélange d’humanisme et d’efficacité. France Terre d’Asile, par exemple, mêle l’accueil des migrants à un accompagnement social complet. Tandis que la Croix-Rouge française agit sur de multiples fronts, des secours d’urgence à la réinsertion.

Ces acteurs sont une source d’inspiration, non seulement pour leur action directe, mais aussi pour le rappel constant que la dignité humaine se défend à travers chaque engagement. Ils nous incitent à regarder la pauvreté comme une réalité que l’on peut combattre, ensemble, par une mobilisation durable et solidaire.

Cette journée n’est pas uniquement un moment commémoratif. C’est une invitation à l’action responsable, un temps pour reconnaître que la pauvreté est un combat qui nous concerne toutes et tous, quelles que soient nos origines ou nos conditions. En franchissant le pas, même à petite échelle, chaque geste contribue à changer les choses, offrant une nouvelle chance à celles et ceux qui luttent pour une vie plus juste.

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Prendre soin de sa santé mentale : les clés du bien-être au quotidien https://onpenseauxautres.fr/prendre-soin-de-sa-sante-mentale-les-cles-du-bien-etre-au-quotidien/ https://onpenseauxautres.fr/prendre-soin-de-sa-sante-mentale-les-cles-du-bien-etre-au-quotidien/#respond Fri, 10 Oct 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/prendre-soin-de-sa-sante-mentale-les-cles-du-bien-etre-au-quotidien/ Prendre soin de sa santé mentale est essentiel pour engager durablement dans des causes qui nous tiennent à cœur et cultiver un bien-être au quotidien.

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Prendre soin de sa santé mentale semble parfois relégué au second plan, notamment pour celles et ceux engagés dans des causes humanitaires, sociales ou environnementales. Pourtant, cette dimension intime de notre bien-être influe profondément sur la force avec laquelle nous portons nos combats. Selon une étude menée par l’OMS, près d’un quart de la population mondiale a souffert d’un trouble mental à un moment donné de sa vie, soulignant l’urgence d’écouter ce que notre esprit a à nous dire.

Comprendre la santé mentale, là où tout commence

La santé mentale ne se réduit pas à l’absence de maladie, elle englobe un état d’équilibre émotionnel, psychologique et social. Cette harmonie influence notre manière de gérer le stress, de communiquer avec les autres et de prendre des décisions. Pour les personnes qui s’engagent auprès des plus fragiles (maladie, pauvreté, handicap…), être à l’écoute de ses émotions devient une nécessité pour continuer à avancer avec résilience.

Des associations comme France Dépression ou Anjel travaillent justement à démocratiser la parole sur ce sujet encore tabou en France, favorisant des espaces où l’on peut se confier sans crainte d’être jugé. C’est dans ces paroles échangées que naissent souvent des solutions pour mieux vivre au quotidien.

Les petites habitudes au service d’une paix intérieure

Le quotidien peut vite devenir un terrain miné de tensions, surtout lorsque notre engagement demande de nombreux sacrifices. L’important n’est pas de vouloir inverser la donne d’un coup, mais d’intégrer progressivement des comportements qui alimentent notre sérénité.

Prendre le temps de respirer profondément, pratiquer la pleine conscience ou s’accorder de petits moments pour soi aident à renforcer notre résistance mentale. Des pratiques simples, accessibles à toutes et tous, qui permettent d’éviter l’épuisement émotionnel. Comme l’indique l’association Psychologies.com, le pouvoir de l’écoute attentive de soi joue un rôle crucial dans la prévention du burn-out.

Le lien entre engagement et bien-être mental

S’engager pour autrui ne signifie pas s’oublier. Bien souvent, ceux qui soutiennent des causes sensibles ressentent la tension entre leur désir d’aider et les limites personnelles imposées par la fatigue ou l’angoisse. Pourtant, participer à des actions collectives peut nourrir un sentiment profond d’utilité et de solidarité, des sources reconnues de bien-être psychique.

L’association France Bénévolat propose notamment des missions qui respectent les rythmes et les capacités de chacun, favorisant une implication durable et épanouissante. En acceptant ses propres vulnérabilités, on permet à l’engagement d’être une force plutôt qu’un poids.

Valoriser le soutien et tisser des liens

Personne ne saurait traverser seul un chemin chargé d’épreuves. Au-delà des ressources personnelles, la santé mentale s’entretient à travers des relations humaines nourrissantes. Que ce soit avec la famille, les amis ou au sein d’un réseau associatif, se sentir écouté et soutenu apaise les tourments. C’est pourquoi des structures telles que SOS Amitié offrent une présence bienveillante à celles et ceux touchés par l’isolement et les difficultés psychologiques.

L’engagement associatif, loin d’être seulement une contribution extérieure, devient alors un vecteur de rencontres et d’entraide mutuelle. Cultiver ces échanges révèle les mécanismes même du partage, sources d’un équilibre durable.

Un regard plus large, pour ne pas perdre pied

Les défis qui habitent notre époque – qu’il s’agisse de défendre les droits des personnes en situation de handicap, de protéger les animaux ou de lutter contre la pauvreté – peuvent parfois submerger les esprits sensibles. L’enjeu est de conserver une « distance saine » avec ces réalités tout en continuant à apporter sa pierre à l’édifice.

Des ONG telles que SOS Faim ou Action Contre la Faim offrent souvent des formations permettant d’allier engagement et prise en charge personnelle. Cela souligne que prendre soin de soi n’est pas un acte égoïste mais bien un préalable pour contribuer efficacement à une cause.

La santé mentale, loin d’être un luxe, est une condition fondamentale pour porter haut les valeurs de solidarité, de justice et de compassion. La question n’est pas de s’isoler ou de s’éparpiller, mais de trouver un équilibre qui nous rende plus disponibles aux autres, sans s’oublier nous-mêmes.

Oser poser un regard bienveillant sur soi, reconnaître ses limites, c’est aussi servir la cause plus grande avec davantage de lucidité et d’endurance.

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Les aidants, pilliers invisibles : célébrons leur dévouement en cette journée nationale https://onpenseauxautres.fr/les-aidants-pilliers-invisibles-celebrons-leur-devouement-en-cette-journee-nationale/ https://onpenseauxautres.fr/les-aidants-pilliers-invisibles-celebrons-leur-devouement-en-cette-journee-nationale/#respond Mon, 06 Oct 2025 08:00:00 +0000 https://onpenseauxautres.fr/?p=4195 Célébrons les aidants, piliers invisibles essentiels à nos sociétés, et invitons chacun à soutenir leur dévouement avec respect et solidarité.

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Chaque année, la Journée nationale des aidants rappelle l’attention indispensable à ces personnes discrètes, souvent inconnues du grand public, qui consacrent une part immense de leur vie à accompagner un proche en situation de dépendance. Derrière chaque geste d’attention, chaque rendez-vous médical, chaque soutien moral, il y a un pilier invisible dont le dévouement mérite d’être célébré et soutenu.

Le poids invisible du rôle d’aide

Être aidant ne s’improvise pas. La réalité quotidienne de ces hommes et femmes qui accompagnent parents, enfants ou amis atteints de maladies chroniques, de handicaps, ou confrontés à la fragilité liée à l’âge, est souvent marquée par un mélange d’amour, de fatigue physique et de contraintes psychologiques. Selon un rapport récent de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA), près de 11 millions de personnes en France se dévouent à temps partiel ou complet pour prendre soin d’un proche.

Ce dévouement silencieux est la colonne vertébrale de nombreuses familles et systèmes de soins, pourtant il reste trop souvent ignoré dans le paysage social et politique. La pression qui pèse sur les épaules des aidants peut déboucher sur un épuisement profond, un isolement grandissant et des impacts significatifs sur leur santé mentale.

Une présence au cœur de la société

Comme l’illustre l’histoire récente de Sophie, jeune mère de famille devenue aidante de sa belle-mère atteinte de la maladie d’Alzheimer, le rôle d’aidant se conjugue avec des responsabilités multiples. Combiner un emploi, la gestion familiale, et les soins quotidiens auprès du proche demande une résilience et une organisation hors norme. Pourtant, Sophie affirme que « malgré la difficulté, ces moments partagés donnent un sens profond à ma vie ».

Ce témoignage fait écho à celui de milliers de Français qui embrassent ce rôle sans qu’il ait jamais été choisi explicitement. Ils incarnent une forme de solidarité invisible mais vitale, où le lien humain transcende les difficultés.

Des solutions pour alléger la charge

Reconnaître et valoriser cette fonction, c’est d’abord envisager des soutiens adaptés. Plusieurs associations françaises jouent un rôle majeur dans cet accompagnement, en proposant écoute, informations, et aides concrètes. France Alzheimer, par exemple, accompagne les familles confrontées à cette maladie encore trop souvent tabou.

Des organisations comme APF France handicap ou France Parkinson veillent à la reconnaissance des aidants et à l’amélioration des conditions de prise en charge. Le relais médical, les formations spécifiques à l’aide à domicile ou encore la création d’espaces de répit sont essentiels pour éviter le surmenage.

Un engagement possible pour chacun

Si vous ressentez une attirance pour ces causes humaines, il est possible de poser des actes simples mais fondamentaux. Soutenir un aidant, c’est parfois offrir une oreille attentive ou un moment de répit, contribuer aux associations qui militent pour un meilleur encadrement, ou simplement faire connaître leur réalité au plus grand nombre.

Des plateformes comme On pense aux autres encouragent une mobilisation citoyenne où chaque participation, même modeste, donne un nouvel élan à cette cause. Votre engagement peut aussi s’inscrire dans des actions solidaires locales, dans le bénévolat auprès des structures d’accueil ou par la sensibilisation autour de vous.

Le futur des aidants, une responsabilité collective

Il appartient à la société tout entière de créer les conditions pour que la mission des aidants ne se transforme pas en sacrifice insoutenable. L’ONU, par le biais de l’Organisation mondiale de la Santé et d’autres agences, encourage aussi la reconnaissance des aidants comme un enjeu fondamental pour le développement humain et social.

Adresser cette reconnaissance, garantir un accès aux ressources, impulser des réformes pour compenser cette charge sont autant de chantiers qui demandent un engagement de tous les instants, de la part des pouvoirs publics, des acteurs associatifs et des citoyens.

En ce jour national dédié aux aidants, prenons le temps de mesurer l’ampleur de leur contribution, d’exprimer notre gratitude et de réfléchir ensemble aux moyens de les soutenir durablement. Chacun a un rôle à jouer dans cette chaîne solidaire. Offrir une écoute, propager la cause, ou simplement confronter les préjugés, ce sont autant de petits actes qui peuvent transformer le quotidien des aidants et de ceux qu’ils accompagnent.

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